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Le MEGAPHONE TOUR est un dispositif d’aide à l’émergence, de soutien, d’accompagnement et de développement par la scène des talents de demain.
Chaque année, 12 auteurs-compositeurs-interprètes, préalablement sélectionnés, partent sur 4 tournées dans 4 grandes Régions de France (Sud Ouest, Sud Est, Nord Est, Nord Ouest), proposant ainsi un plateau découverte de 3 artistes en bas de chez vous…
www.megaphonetour.fr
Pour cette nouvelle collaboration, nous avons la joie d’accueillir Jesers, Hildebrandt et Bertrand Louis pour un triple-plateau.

Tournée 1 megaphONE

-JESERS- 20hoo Auteur interprète de la nouvelle scène française, Jesers est un amoureux des mots et de leurs sens. Issu d’une incroyable famille de musiciens disséminés entre Praia, Dakar, Londres et New York, son goût pour le bel ouvrage le conduit naturellement à l’art de la mosaïque, du verbe et du rythme.
Citoyen et conteur aux racines métissées, son univers musical est une rencontre entre plusieurs cultures, un voyage en chanson world emprunte de poésie urbaine.
Avec «J’aimerais qu’on sème», il nous invite à bord d’un nuancier coloré et positif dans lequel il aborde ses racines, de la France à L’Afrique, du Cap Vert au Sénégal, pour tracer des horizons tous liés aux événements de notre monde et où l’importance des mots illuminent les rimes.

-HILDEBRANDT- 20h4o Oui, ce nom est peut être familier pour toi qui es un habitué; puisque nous avons découvert Hildebrandt il y a quelques moi lors des auditions du Mégaphone Tour, et l’avis a été unanime, il nous a conquis!
Sans jamais savoir bien dire d’où vient le vent, Hildebrandt va loin au-dedans et file dans des territoires où se mélangent les sentiments. On lui reconnaîtra comme B.A.BA ses pairs d’armes et frères de lettres Bashung, Ané, Belin, Arno. Il foule, sentimental, la scène, accompagné de ses deux fidèles lieutenants aux guitares, et s’empare entre claviers et machines de la lumière.
Une voix. Une route

-BERTRAND LOUIS- 21h2o Ils sont peu à savoir proférer des gros mots sans paraître vulgaire, à pouvoir baguenauder avec une ironie douce dans la violence de l’époque et la noirceur annoncée pour demain ; ou à s’attaquer à l’existence de Dieu dans une encre à la fois hérétique et courtoise. Philippe Muray était de ceux-là et Bertrand Louis en enroule les mots flamboyants dans un chant pudique.

Il enfile en rimes la non-poésie de Muray et lui redonne sa causticité désabusée. Derrière sa voix défilent des ciels changeants : un piano fugueur ici, gymnopédique là, des peaux frottées, une basse rouleau-compressée et sépulcrale qui tonne dans une onde électronique, des galops électriques et d’inquiétants climats synthétiques. Le recueil de Muray s’intitulait Minimum Respect : Bertrand Louis le sert avec une maximale élégance. (critique de MARC besse, Télérama).