Les quatre acolytes de la Gaudriole jouent à rire et à pleurer, et rendent hommage à l’insignifiante beauté du quotidien. Un accordéon enjoué porte des textes empreints d’humour, de dérision et de poésie qui subliment les scènes de la vie ordinaire. Partout où ils passent, ces musiciens réinventent un univers anachronique, celui des troquets de Montmartre du temps de Fréhel…

On en parle…
« C’est qu’au premier débagoulis de notes tombé de l’accordéon s’installe une ambiance post-musette fleurant bon le temps d’antan, l’escalier de la Butte, l’estaminet vieillot au comptoir déverni par trop de coudes alourdis d’une chope ou d’un galopin, la fumée froide, la chaude lumière jaune d’une devanture de troquet dans la nuit d’hiver… » – Article du Clou dans la planche, « Gaudriolons en choeur »