À travers des textes racés, Askehoug raconte de façon délibérément provocante, les pérégrinations d’individus trop romantiques pour ne pas être balayés par leur propre existence, dont la mégalomanie souffre d’une maladresse congénitale. Une sorte d’autoportrait déformant en somme, alliant rythmique hip-hop et orchestration, hargne urbaine, trivialité et bonnes manières.
Une élégance négligée, cela ressemble à du dandysme , Askehoug parvient à se faire remarquer grâce à un sens contrasté de la poésie à double face… C’est dense, précis et souvent juste
— Didier Varrod, France Inter
Totalement barré donc super doué
— Télérama juillet 2012
La moustache de Dewaere, un timbre de voix entre Bashung et Arthur H,
— Marie-Catherine Mardi, Télérama
Askehoug est aussi smart qu’il le chante
Avec la classe et la décadence de Gainsbarre, cet irrésistible moustachu s’impose comme l’un des plus singuliers personnages de ces dernières années
— Eric Nahon, Longueur d’Ondes
askehoug